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Jeu d’adresse

Pour jouer avec son bout d’chou, inutile de faire compliqué. Prenez de beaux cubes en bois et une règle qui le met en joie – lancer le dé et empiler un maximum de pièces sans les faire tomber – et le voilà comblé ! C.Q.F.D.

« Mon 1er jeu d’adresse », Oxybul, 9,99 € et sur www.oxybul.com.

Le + : 3 jeux d’adresse Oxybul ont été gagnés lors d’un précédent jeu-concours Bubble. La question posée était :  » …  » Pour les curieux, découvrez les chouettes réponses dans les commentaires ci-dessous. Guettez tous nos jeux concours en vous abonnant à notre newsletter !

Exit les boules de Noël classiques

Avec vos minus, collectionnez les bouchons en plastique et fabriquez ensemble de drôles de « bouilles de Noël » !

IL FAUT
des bouchons de lait
du Masking Tape ou du ruban adhésif coloré
des feutres colorés et indélébiles
des stickers yeux et des gommettes
du fil à broder ou du fil de fer fin
une aiguille assez longue

MODE D’EMPLOI
1. Mettre 2 bouchons l’un contre l’autre et les fixer ensemble en les entourant de Masking Tape.
2. Faire un nœud à l’extrémité du fil puis percer un des bouchons sur sa tranche et faire ressortir l’aiguille et le fil du côté opposé. Laisser 4 cm de fil pour former la boucle et, toujours avec le même fil, percer ensuite l’autre bouchon pour faire ressortir le fil du côté opposé (et donc à côté du premier nœud). Terminer par un nœud.
3. Le plus amusant maintenant : imaginer des visages. Stylos colorés, Masking Tape découpé, stickers Yeux, gommettes… à vous de jouer !

D’autres idées de The PopCase à piocher par ici !

 

Bienvenue à la Bubble Party !

Au programme 8 ateliers à partager avec vos enfants pour découvrir « en live » toutes les rubriques de notre nouvelle appli. Et… un drôle de goûter, à bricoler à 4 mains !


Les ateliers

Atelier « 10 min de kif avec ses enfants », avec Gymboree (0-6 ans)

Atelier « Bonnes idées », avec Koko Cabane (15-36 mois)

Atelier « Coup de pouce » (3-12 ans)

Ateliers « Play Time », avec Déclic et des Trucs et Happy Families (4-12 ans et 6-12 ans)

Atelier « Pillow Blabla » (4-12 ans)

 

Good Luck !

Good Luck* !
Tentez de gagner 1 des 5 Pass Duo* annuel pour le Centre Pompidou en écrivant un commentaire pour nous dire quel atelier, vous et vos enfants, avez préféré !

 

Et n’oubliez pas de communiquer sur vos réseaux avec les hashtags #BubbleEvent et #BubbleApp
WI-FI (réseau et mot de passe) : happyfamilies


 

*Jeu gratuit sans obligation d’achat, ouvert uniquement en France et accessible sur preproduction.bubblemag.fr et l’appli Bubble App’. Les gagnants seront tirés au sort. Jeux jusqu’au  12/03/2015 minuit . Les lots sont composés de 5 Pass Duo annuel pour le Centre Pompidou, d’une valeur respective de 72 euros. SARL Elbbub, RCS Lille Métropole n°494 920 359.

Les pouvoirs du doudou

Le doudou est un objet magique : il sait endormir, rassurer, faire passer l’ennui, il aide à supporter les émotions fortes et à se séparer en douceur des parents… Comment un bout de tissu ou une peluche peuvent-ils développer tous ces pouvoirs ?

Les fonctions du doudou
Pour désigner le doudou, le pédiatre et psychanalyste Donald W. Winnicott parle d’ « objet transitionnel ». Il s’agit d’un objet qui fait la transition entre la mère et le bébé au moment où celui-ci commence à comprendre qu’il est un individu distinct de celle qui l’a mis au monde. Cette compréhension fait naître chez lui l’angoisse de séparation. Pour s’en défendre, il va choisir un doudou qui lui sert de substitut pour supporter l’absence de sa mère. Mais pas seulement ! Le doudou permet aussi au bébé d’expérimenter la différence entre « le moi et le non-moi », et de développer son rapport avec les choses extérieures. C’est un véritable laboratoire d’expériences qui aide à grandir. À éviter de perdre, donc !

4 astuces pour ne pas l’égarer
1. Acheter un ou plusieurs doubles et les faire tourner pour que leur usure soit équivalente.
2. Marquer le doudou avec votre numéro de téléphone, sur un ruban cousu par exemple.
3. Attacher le doudou à votre enfant lors des sorties en poussette.
4. Laisser le doudou à la maison, à partir du moment où il devient moins important.

Un doudou à quel âge ?
C’est souvent autour de 8 mois que le bébé choisit son premier doudou. Il le traînera partout avec lui, jusqu’à l’école maternelle. Avec l’apprentissage de la parole et la socialisation, l’enfant acquiert d’autres moyens d’exprimer ses émotions et finit souvent par l’abandonner entre 3 et 5 ans. Certains enfants continuent d’y avoir recours plus tard, pour s’endormir le soir ou quand ils sont confrontés à des situations inhabituelles et stressantes. Aucun problème : ils finiront un jour pas s’en séparer d’eux-mêmes. On n’a encore jamais vu un adulte se promener avec son doudou dans la rue !

Testez notre poupée anti-chagrin !

Votre vie de famille va changer ! Episode 1

Avec la Bubble App’, 4 fois par semaine surprenez votre tribu!

Découvrez les autres épisodes

Téléchargez la Bubble App’

Si on devait inventer une tradition familiale, ça serait … ?

Et les vôtres, ils ont dit quoi ? Laissez-nous la réponse dans un commentaire…

Votre vie de famille va changer ! Episode 6

Téléchargez la Bubble App’ pour comprendre et  surprendre votre tribu!
Découvrez les autres épisodes

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Votre vie de famille va changer ! Episode 5

Téléchargez la Bubble App’ : 4 fois par semaine surprenez votre tribu!
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Votre vie de famille va changer ! Episode 4

4 fois par semaine surprenez votre tribu!
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Votre vie de famille va changer ! Episode 3

Bubblemag lance sa Bubble App’
4 fois par semaine surprenez votre tribu!
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Votre vie de famille va changer ! Episode 2

Bubblemag lance sa Bubble App’
4 fois par semaine surprenez votre tribu!
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Jeux de memory des mots en « oux »

Astucieux ce memory à fabriquer avec vos enfants les aide à mémoriser les mots en « oux » !

1. Télécharger et imprimer en couleur les cartes illustrées et les cartes mots ici.

2. Puis télécharger et imprimer en couleur en 2 exemplaires le dos (des cartes illustrés et des cartes mots) ici.

3. Coller le dos des cartes derrière les cartes illustrées et les cartes mots.

4. Découper chacune des cartes et retourner face cachée.

5. Le but du jeu : trouver les paires image/texte pour une petite leçon d’orthographe ludique !

Apprendre en s’amusant ?

Pour l’hiver : une petite expérience pour savoir comment contrer les virus

Malin : une boîte pour apprendre à lacer ses chaussures

Scientifique : un masque pour apprendre la géométrie

Un anniversaire gourmand

Pour son anniversaire, surprenez ses amis avec un goûter pas comme les autres à base de glace à la vanille et de bonbons multicolores… Une idée rigolote de Martine Camillieri !

MATÉRIEL

. une grande boîte d’emballage d’œufs (ou plusieurs petites boîtes)
. des décorations de pâtissier, des bonbons, des céréales du matin…
. des bougies d’anniversaire
. un grand bac de glace à la vanille avec des petits bols

EXPLICATIONS

1. découper le couvercle des boîtes

2. garnir chaque alvéole avec des petits bonbons

3. pour le service, ajouter des mini-cuillères piochées dans une dînette (ou bien des petites pelles à glace) et planter des bougies sur les parties en relief

4. sortir la glace du congélateur 5 min avant de servir

5. apporter à table la glace et sa cuillère, les bols et la boîte à oeufs, sans rien renverser !

6. c’est parti : à chacun de décorer sa glace à la vanille !

PS : ne surtout pas allumer les bougies (c’est pour faire joli), car tout le monde se brûlerait les doigts en piochant les bonbons !  Préparer plutôt un petit gâteau à côté pour souffler les bougies.

 

Astuces pour se faire obéir ? 3/3

À 2 ans elle fait la sourde oreille quand vous lui demandez de venir dîner, à 5 ans quand il faut aller se coucher, à 9 ans quand vous voulez qu’il stoppe son jeu vidéo… Et si vous ne choisissiez pas le bon moment pour vous faire entendre ?

1. Mettez-vous à leur place !
Demander à un enfant d’obéir, toute affaire cessante, alors qu’il est plongé dans une activité est rarement suivi d’effet. Normal. Mettez-vous à sa place, que ressentiriez-vous si, absorbée par le dernier best-seller, on vous demandait de stopper net pour aller mettre le couvert ? Sans doute la même chose : l’envie, tout d’un coup, de devenir méga sourd…

2. Faites-le test et observez si vos demandes sont plus souvent suivies d’effets…
Plutôt que de dire à votre fille – absorbée par sa dînette – de venir dîner immédiatement, demandez-lui de venir dans 5 minutes quand elle aura fini de cuisiner.
– Plutôt que de dire à votre fils – qui joue avec ses Kapla – d’aller se coucher illico presto, demandez-lui d’aller se coucher quand sa tour sera terminée.
– Plutôt que de dire à votre aîné – en train de battre son record à son jeu vidéo – d’arrêter sur le champ les écrans, demandez-lui d’éteindre sa DS à la fin de sa partie (dans un délai raisonnable il s’entend…).

Découvrez nos 2 autres articles sur l’obéissance :
Se faire obéir 1/3
Se faire obéir 2/3

 

 

Méditation guidée pour les enfants

Méditation : pourquoi ne pas initier nos enfants à cette pratique aux mille vertus (gérer son stress, ses angoisses, se calmer…) ?

Voici une petite séance de méditation guidée pour les enfants, extraite du CD de méditation accompagnant le livre « Calme et attentif comme une grenouille » d’Eline Sne avec la voix de Sara Giraudeau et un dessin de Marc Boutavant.

 

Comment montres-tu aux gens que tu les aimes ?

Et les vôtres, ils ont dit quoi ? Laissez-nous la réponse dans un commentaire…

Mémo N°1 – Stop aux idées reçues

Devenir parent est l’opportunité de redécouvrir le monde avec un regard neuf et curieux. Saisissons-là pleinement ! Essayons de remettre en question nos certitudes, de combattre nos préjugés, d’oser penser différemment…

 

BD à lire absolument quand on est enceinte !

Bientôt maman ? Découvrez-vite et en BD ce qui vous attend… et que l’on tait le plus souvent !

1. La tectonique des plaques (2013)
Avec ce 3e album, l’illustratrice Margaux Motin (blogeuse incontournable pour les natives des années 80) relate sa vie de mère célibataire trentenaire avec son franc parlé bien à elle, mais non sans profondeur. À dévorez (si vous êtes accro au second degré). Le blog, à découvrir si ce n’est pas déjà fait !

2. Mères Anonymes (2013)
Après les « AA » (Alcooliques Anonymes) voici les « MA ». Dans ce groupe-ci : les mères viennent témoigner de leurs déboires parentaux… La franchise est de mise, rien n’est passé sous silence et l’humour naît du décalage entre les paroles et les actes. Un album drôle et sensible illustré par Magali Le Huche (plus habituée aux albums pour enfant) et écrit par Gwendoline Raisson.

3. Le petit grumeau illustré 1 et 2 (2009 et 2012)
De la conception du grumeau à sa naissance et plus, Nathalie Jomard, autre célèbre maman du Net avec son blog « Petit précis de Grumeautique », relate son quotidien avec un humour décapant et des anecdotes plus vraies que nature. Deux tomes pour se régaler !

4. Alea Gesta Est (2012)
Avec un sens de l’humour très aiguisé c’est cette fois au futur père (l’auteur de BD Lapuss’) de prendre la parole. Du 1er mois de grossesse jusqu’à la naissance voici tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur ce qui se passe dans la tête de votre homme pendant votre grossesse…

Les devoirs… autrement !

Rarement une partie de plaisir, les devoirs du soir tournent trop souvent au cauchemar. Démunis, les parents s’énervent, les enfants se rebellent, et les remontrances s’amoncellent. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, psychologues, se sont penchées sur la question et proposent une alternative salvatrice au travers d’ateliers, dans leur « Fabrique à Bonheurs » !

Qu’est-ce que La Fabrique à Bonheurs ?
La Fabrique à Bonheurs est un espace que nous avons ouvert à Paris où nous avons regroupé toutes nos activités : notre cabinet de consultations privées, nos ateliers à destination du public et nos modules de formation pour les enseignants qui souhaitent être initiés à la Pédagogie Positive. Nous avons choisi un lieu accueillant en rez-de-chaussée, avec une devanture qui donne sur la rue, une adresse ouverte sur l’espace public. Avec la volonté de dédramatiser la consultation de psychologie.

À qui s’adressent vos ateliers ?
De l’enfant de 8 ans à l’adulte ! L’atelier « Apprendre autrement avec la pédagogie positive » est destiné aux enfants de 8 à 14 ans accompagnés de leurs parents ; « Booster ses révisions et réussir ses examens », aux lycéens et étudiants. Les deux se déroulent sur une journée. L’atelier « Penser et organiser son travail et sa vie avec le Mind Mapping », dispensé sur 2 jours, est destiné aux adultes – notamment à ceux qui sont en reconversion professionnelle et qui doivent repasser des examens – et aux salariés.

La Pédagogie Positive, c’est quoi exactement ?
La Pédagogie Positive est une approche qui intègre à la fois la pédagogie et la psychologie positive, courant initié en 1998 par le psychologue Martin Seligman et qui étudie les conditions et les processus qui contribuent à l’épanouissement des individus. Avec notre livre et dans nos ateliers, nous essayons de donner des clés aux parents et aux enfants pour optimiser l’apprentissage au travers d’une approche pédagogique globale, concrète et outillée, qui prend en compte le cognitif, l’émotionnel et le somatique – ce que nous appelons notre approche « Tête, Cœur et Corps ».

Vous parlez d’une approche « outillée » : de quels outils parlez-vous ?
De la gestion mentale, de l’importance de connaître le profil de son enfant (visuel, verbal…), du Mind Mapping, de la méthode des lieux, de la pensée visuelle par association d’idées… Ce qui est essentiel, c’est de se demander ce que les mots, les concepts évoquent pour l’enfant. Quand il bute sur une difficulté, posez-lui la question : « Quand je te dis ça, qu’est-ce qui se passe dans ta tête ? » En atelier, nous avons souvent des enfants fous de jeux vidéo. Pour qu’ils mémorisent leur carte de géographie par exemple, nous leur disons : « Imagine que c’est toi dans le jeu vidéo et que tu te balades au milieu d’un paysage en 3D. Eh bien, là tu vois des montagnes, là, des fleuves… » S’il faut en passer par là pour qu’ils retiennent, eh bien allons-y !

Qu’entendez-vous par « Corps et Cœur » ?
La dimension du « Corps » est celle qui est le plus souvent oubliée. Certains enfants ne tiennent pas en place. Eh bien laissons-les bouger quand ils font leurs devoirs. Si, pour apprendre, ils doivent faire des ronds dans leurs chambres, pourquoi pas ? En quoi cela serait-il mal ? Quand au « Cœur », l’important est de prendre en compte le rôle des émotions de l’enfant dans l’apprentissage. Ce n’est pas parce que l’on a décidé que c’était l’heure des devoirs que l’enfant est disposé émotionnellement à les faire précisément à ce moment-là. Il vient peut-être juste de faire une colère ou d’être déçu par quelque chose, et, dans un tel état, cela ne sert à rien de s’y mettre. C’est l’échec assuré.

De nos jours, il y a de plus en plus d’enfants qui ont un ego surdimensionné, une sorte d’arrogance. N’est-ce pas le risque de trop les complimenter ?
C’est le résultat, surtout, d’une absence de cadre éducatif, de respect, de politesse, de contraintes. Certains parents valorisent leur enfant à tout bout de champ, sans que cela ne repose sur une aucune réalité. Tout ce qu’il fait est génial. Dans ce cas, en effet, l’enfant se croit vite supérieur aux autres. À l’inverse, il est important de valoriser les efforts, et ce, indépendamment des résultats. Il est important de féliciter un élève dont la moyenne au 2e trimestre passe de 7 à 9 sur 20, même si ce n’est pas suffisant. Cela lui donnera envie de continuer.

Le but de la Pédagogie Positive est-il de faire de nos enfants des premiers de la classe ?
Non ! Ce qu’il faut retenir, c’est qu’avant tout la Pédagogie Positive est là pour donner aux enfants confiance en eux. Le problème aujourd’hui, c’est qu’il y a un effet inverse : nous sommes tellement obnubilés par la réussite scolaire et la performance que l’on stresse les enfants. Quand on sait à quel point la réalité économique et sociale est difficile, autant leur donner des armes pour lui faire face : l’autonomie, l’estime de soi… Il y a des tas de gamins qui ont été super bons à l’école, mais à quel prix ? Pressions, tensions, sanctions, censure, formatage… ont baigné leur quotidien. Or, une fois en entreprise, certains n’osent pas faire preuve d’initiative, être force de proposition et n’ont aucune créativité, car, au fond, ils n’ont pas confiance en eux. Ils reproduisent le rapport d’autorité qu’ils ont eu avec leurs parents et restent « sages ».

Vous faites souvent référence à l’autonomie : comment rend-on son enfant autonome ?
Pour nous, dès 3 ans, un enfant peut aider à mettre la table et, à 7 ans, descendre les poubelles ! L’idée est de montrer à l’enfant, très tôt, qu’il peut faire des choses sans l’aide de papa et maman, et qu’il peut agir pour la collectivité. Il n’y a pas d’autonomie dans le travail et l’apprentissage s’il n’y a pas d’autonomie dans le quotidien.

Faut-il attendre que nos enfants soient en difficulté pour se servir de la Pédagogie Positive ?
Non, bien au contraire ! La Pédagogie Positive n’est pas seulement là pour remédier à un problème. C’est avant tout un modèle d’éducation, une pédagogie joyeuse qui donne le goût d’apprendre partout, tout le temps. Et qui doit être mise en œuvre dès le plus jeune âge, de manière préventive, sans attendre d’éventuelles difficultés.

Avec deux mamans comme vous, vos enfants doivent être des super cracks à l’école, non ?
Eh bien… au risque de vous décevoir : non ! Certains de nos enfants s’en sortent très bien scolairement, après un parcours qui a pu être chaotique, et d’autres ont plus de difficultés à accepter la règle du jeu de l’école. En revanche, même s’ils ne sont pas tous premiers de la classe, ils ont en commun d’être bien dans leurs baskets et d’avoir confiance en eux. Ils savent que nous sommes fières d’eux et que nous les encouragerons toujours à développer leurs talents. Camille (la fille aînée d’Isabelle, ndlr), qui est pâtissière, n’a pas son bac, mais cartonne professionnellement. À 19 ans, elle est chef pâtissier dans un grand palace, avec 4 personnes sous ses ordres. David (le fils aîné d’Audrey, ndlr), après un redoublement en 4e et en seconde, s’est réveillé en première S et envisage de faire médecine alors que son frère de 13 ans trouve que l’école « ça sert à rien »…

N’avez-vous pas rêvé, comme nombre de parents, que vos enfants fassent de grandes écoles ?
Jamais. Quoi qu’ils souhaitent faire, quelles que soient leurs passions (la cuisine, la médecine, la mécanique…), nous ne portons surtout pas de jugement sur leur choix. Nous espérons seulement leur avoir donné assez de confiance en eux pour avoir toujours envie de progresser, d’apprendre. Ce qui importe, c’est qu’ils s’épanouissent dans leur travail.

Et les enfants qui n’ont pas de passion ?
Déjà, ce n’est pas parce qu’ils n’ont aucune passion qu’ils n’ont pas de talents. Si l’on prend le temps d’observer un enfant, on remarque vite qu’il a certaines habiletés, scolaires ou pas, plus développées que les autres. L’école, heureusement, n’est pas le seul indicateur de l’intelligence ! À nous de mettre l’accent dessus plutôt que sur ce qui lui manque. Et puis il y a des enfants qui se révèlent après le bac, une fois sortis du système scolaire. Le gros challenge des parents aujourd’hui, c’est d’arriver à lâcher prise en arrêtant de leur mettre la pression, tout en maintenant un cadre qui les accompagne jusqu’à l’âge adulte.

Tous les enfants sont-ils des bons élèves en puissance ?
Non, tous les enfants ne sont pas de bons élèves en puissance. Quelles qu’en soient les raisons, certains enfants auront toujours des difficultés à l’école et ne s’accompliront qu’après avoir trouvé leur voie. En revanche, tous les enfants sont des adultes épanouis, responsables, curieux et talentueux en puissance. C’est pour cela qu’il est essentiel de cultiver leur confiance en eux, leur curiosité, leur autonomie et de les aider à découvrir et à développer leurs talents.

Avez-vous évalué de manière scientifique vos méthodes ?
Non. Notre pédagogie n’a pas encore fait l’objet d’une évaluation scientifique à proprement parler. Si des chercheurs veulent se pencher sur la question, nous les accueillons bien volontiers ! En revanche, si l’on en croit les nombreux témoignages des enfants et des adultes, notre méthode leur a fait radicalement changer leur manière de vivre la relation à l’apprentissage.
Et la reconnaissance institutionnelle arrive ! L’Éducation nationale, qui faisait déjà appel à nous pour leur cellule Innovation, nous a approchées de manière plus pragmatique, au travers de leur Direction des programmes. Pour réfléchir, d’une part, à un module qui serait intégré à la formation des enseignants et, d’autre part, à la manière dont on pourrait intégrer les outils de la Pédagogie Positive dans les programmes et les manuels scolaires.
À l’heure où toute la connaissance est à portée de clic, il devient urgent d’apprendre aux enfants à « apprendre », justement, à se connaître, à réfléchir sur la vie ensemble, à développer son esprit critique. Avoir « une tête bien faite plutôt qu’une tête bien pleine », n’est-ce pas ?

Portrait
Audrey Akoun est psychothérapeute comportementaliste et cognitiviste, spécialisée dans la gestion des émotions. Isabelle Pailleau est psychologue du travail et des apprentissages. Elles sont également thérapeutes familiales et formées à la Gestion mentale, à la sophrologie et au Mind Mapping et, à elles deux, mamans de 7 enfants, de 1 an à 19 ans !

7 trucs pour arrêter de râler sur ses enfants

Un soir, exténuée par sa journée entre les bouchons, les clients exigeants, le bazar de la maison et les enfants grincheux, Christine Lewicki réalise qu’elle n’a pas cessée de se plaindre. Elle se lance alors un challenge : arrêter de râler pendant 21 jours consécutifs. Un blog et 2 mois plus tard, le défi est relevé ! Mais arrêter de râler, c’est aussi arrêter de pester contre ses enfants. Maman de 3 filles, Christine a donc dû trouver des astuces pour s’y tenir et communiquer autrement.

1. Respirer et parler tout bas
La première chose à faire est de respirer ! Prenez 3 grandes inspirations par le nez et expirez par la bouche. Cela vous permettra de vous calmer un peu. Puis parlez-lui tout bas. Si vous criez vous aussi, vous ne ferez qu’empirer les choses. En parlant assez bas, votre enfant sera obligé de se calmer pour pouvoir entendre ce que vous dites. J’ai vu une maîtresse (dans l’école Steiner de mes enfants) faire cela dans une classe de 20 enfants (!) et c’est magique.

2. S’asseoir par terre
Ce conseil m’a été donné par la directrice de l’école de mes enfants. Elle me disait : «quand tu as le plus envie de fuir ton enfant, cela veut dire qu’il faut que tu le prennes dans tes bras ». Alors je laisse tout tomber, je m’assoie par terre et je lui demande s’il a envie d’un câlin. Mon expérience est qu’au bout de 5 minutes tout rentre dans l’ordre. Le réservoir affectif de mon enfant est rempli et il arrête de chercher à attirer mon attention…

3. Allez faire une pause de 2 minutes…
Souvent, dans les moments de crise, on a tendance à réagir sous la pression. On m’a conseillé – j’ai essayé et ça marche ! – de me retirer dans une autre pièce pendant 2 minutes. Cela me donne suffisamment de temps pour prendre du recul et choisir la façon dont je veux gérer la situation. Souvent, on crie parce que l’on se retrouve face à notre propre peur de ne pas être un bon parent. On est perdu, on doute de notre éducation, et, du coup, on réagit d’une manière disproportionnée.

4. Chanter
Quand je sens la pression monter et que j’approche de la goutte qui va faire déborder le vase, j’ai plusieurs fois commencé à chanter ! En général les enfants sont surpris, et cela me permet de me ventiler sans crier sur eux.
 
5. Faire « le miroir »
Quand mon enfant tape du pied parce qu’il veut un bonbon « tout de suite ! » et qu’il répète son envie sans fin, il m’arrive moi aussi d’avoir envie de crier… J’opte alors pour le « jeu du miroir » qui consiste à refléter son attitude pour lui montrer que je prends en compte sa frustration. Je tape du pied et lui dis : « tu veux un bonbon tout de suite. Tu n’en as rien à faire que ce soit bientôt le dîner, tu veux un bonbon tout de suite…». Le fait de se sentir entendu satisfait une grande partie de son envie et lui permet alors de lâcher prise.

6. S’il pouvait, il pourrait…
Quand j’ai envie de crier parce qu’il ne range pas sa chambre par exemple, je prends du recul et je replace ma confiance en lui. Je me dis : s’il pouvait, il pourrait… En général, mon enfant a envie de me faire plaisir et de bien faire, alors, qu’est-ce qui l’en empêche ? Peut-être que sa chambre est vraiment trop en bazar et qu’il se sent complètement dépassé. J’essaie alors de trouver avec lui un accord pour que nous la fassions ensemble (il range ce qui est par terre et je l’aide avec son bureau). Ou bien, il peut arriver qu’il n’obéisse pas parce qu’il n’a pas compris quelque chose (il bloque sur un passage de sa partition de piano et se décourage), ou parce que, selon lui, il a déjà trop à faire. Je l’aide alors à organiser ses tâches pour que tout soit faisable.

7. Le test de la barrière
Quand le comportement de mon enfant dépasse les limites, je me remémore le conseil de ma maman : les enfants ont besoin de se sentir en sécurité et de savoir que nous sommes capables de poser un cadre solide autour d’eux pour les protéger de ce monde qu’ils ne maîtrisent pas. Un peu comme une barrière de balcon qui protège et empêche de tomber dans le vide. Régulièrement, mon enfant va venir tester si la barrière est solide. À moi de lui prouver que c’est le cas. Si je crie et m’énerve, je crée l’effet inverse et fais naître chez lui un sentiment d’angoisse et de peur. Donc je pose fermement mais doucement les limites sans décrocher de mon cadre.

PORTRAIT

Christine Lewicki a travaillé pendant 10 ans dans les ressources humaines avant de devenir coach d’entreprise. Elle vit à Los Angeles où elle a découvert la psychologie positive et l’impact réel que peut avoir sur notre quotidien une façon différente d’appréhender les choses.
Une bonne idée ? Rédigez ensemble les règles de famille
Une 2e bonne idée ? Les aider à résoudre les conflits

Petits Déjeuners autour du monde

Vous manquez d’imagination à l’heure du petit-dej ? Sur le site du New-York Times, la journaliste MALIA WOLLAN vous invite à sortir la tête du paquet de céréales et à découvrir ce que mangent les enfants le matin à travers le monde.

Photographie  HANNAH WHITAKER

Haut les masques

Se déguiser, ils adorent !  Et si aujourd’hui, pour que cela sorte vraiment de l’ordinaire (et de l’éternelle robe de princesse), on faisait du grand n’importe quoi ?

1. On sort tous les déguisements, on les mélange et on les mets en tas au milieu du salon

2. On y ajoute des foulards, des cravates, des chaussures de grands…

3. On bande les yeux des enfants

4. 1, 2, 3, chacun se déguise avec ce qui tombe sous sa main (si besoin les adultes peuvent donner des petits coups de main)

STOP ! enlevez vos bandeaux les enfants, et admirez-vous dans le miroir ! Ça vous dit d’aller à l’école comme ça demain ?

Ça a donné quoi chez vous ? Racontez-nous en laissant un commentaire !

 

4 cadeaux rien que pour grand-mère !

Dimanche 1er mars c’est la fête des grands-mères ! Voici 4 idées originales pour changer des éternels bouquets de fleurs et plantes d’intérieur…

1. Le coussin des cousins
Pour dire combien on est bien chez Papilou et Maminette en compagnie de ses cousins.
Boutique « ThereseMarieDesigns » sur Etsy, 54,23 €.

2. Un cahier d’activités à 4 mains
Pour découvrir des tas de choses bizarres sur comment c’était quand mamie était petite…
Minus Édition, 11,90 €.

3. Un livre pour avoir la grand-mère la plus géniale
Où découvrir, notamment, toutes les choses que les grand-parents ne doivent jamais dire à leurs petits-enfants (comme ne jamais commencer ses phrases par « De mon temps »)…
Éditions de La Martinière, 14,90 €.

4. Des mots d’amour
Imprimés sur une toile en lin pour raconter comment c’est bien chez mamie et papi
Boutique « Lacompagniedesmots » sur A Little Market, 35 €.

 

Accompagner l’apprentissage du langage

Caroline Bouchard, psychologue du développement de l’enfant et professeure agrégée à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval au Quebec explique comment accompagner les enfants dans l ‘apprentissage du langage.

Des conseils très pratiques :

– Utiliser des synonymes

– Nommer et expliquer les nouveaux mots

– Regarder l’enfant dans les yeux quand on lui parle

– Lire des histoires dès la naissance

Un film de l’association québécoise des Centres de la Petite Enfance

Les enfants ne bouderont plus leur assiette !

Qui a dit qu’il était interdit de jouer avec la nourriture ?
En 4 clics, une sélection d’assiettes pas comme les autres pour les kids !

1En avant les grands chantiers dans l’assiette !
Vrooom, brrr, pschitt, bam-bam et hop dans la bouche !
Les couverts : 19,95€

2 – Six idées pour décliner la semaine
Envie de customiser ses assiettes en porcelaine blanche ? Inspirez-vous des dessins imaginés par le designer polonais Boguslaw Sliwinski !

3 – La plus connue : l’assiette Food Face by Fred & Friends
Une barbe-œufs-brouillés, une moustache-saucisse, un chapeau-petits-pois, des cheveux-spaghettis… lequel de vous aura le plus d’imagination ?
16,90 €

4 – Un « plateau-bolide »…
De tout un petit peu !
20 €

 

Découvrez aussi : 
Les Bonnes manières à table

 

 

Pourquoi il ne faut pas oublier l’histoire du soir

Joie du partage, découverte du langage, guide pour les émotions, plaisir du récit… A tous les âges, la lecture est une activité aux mille et un bienfaits. N’hésitez pas à en abuser avec vos enfants !

À quoi cela sert ?
« Maman, raconte-moi une histoire ». Dans cette simple phrase, il y a plusieurs demandes entremêlées : s’installer confortablement dans vos bras, se laisser transporter par un récit, explorer l’inconnu… La lecture permet de répondre à ces besoins 3 fondamentaux :
– le besoin d’être rassuré par l’adulte, par sa présence physique, sa voix ;
– le besoin de jouer, de s’évader dans l’imaginaire ;
– le besoin d’apprendre, de découvrir de nouveaux mots, de nouveaux lieux, de nouvelles manières de dire et de ressentir.

À partir de quel âge ?
Dès la naissance ! Même si les bébés sont loin de comprendre le sens des mots, leur lire une histoire chaque soir, c’est les habituer à votre voix, les rassurer par votre présence et leur ouvrir petit à petit les portes du langage.

Quel jour ?
Au quotidien. Lire une histoire chaque soir à vos enfant, c’est leur proposer un rituel apaisant avant d’aller dormir et leur donner le réflexe de la lecture avant de dormir.

Quels livres ?
Ceux de la bibliothèque : y aller avec eux, c’est prendre le temps d’une sortie qui leur est dédié et l’occasion de dénicher ensemble des trésors.
Ceux de votre enfance : leur faire découvrir vos livres, c’est leur parler d’autres époques et partager votre histoire avec eux.

Aussi à ceux qui savent lire ?
Continuer de faire la lecture à vos enfants après leur apprentissage de la lecture, c’est entretenir le lien entre le plaisir du récit et le plaisir du partage.

Livre ou tablette ?
Les consoles de lecture s’avèrent extrêmement pratiques pour emporter toute la bibliothèque de vos enfants en vacances. Mais pour les petits plus encore que pour nous, le rapport au livre matériel reste très important. D’abord parce que leur apprentissage du monde passe beaucoup par le toucher, mais aussi parce que l’objet-livre permet de construire le rapport au temps et à l’espace : on se déplace en tournant les pages.

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Aider un bébé à réguler ses émotions

Les parents et les éducateurs sont capables de donner les ressources aux enfants de moins de 2 ans pour pour leur apprendre à réguler leurs émotions et à réagir. Dans ce film on étudie plusieurs scénari pour comprendre comment aider l’enfant avec des conseils simples :

– Exposer l’enfant à différents environnements pour le confronter à des situations diverses

– Consoler et rassurer, verbaliser, orienter l’attention

– Faciliter les transitions notamment quand l’enfant est déposé à la crèche

– Mettre en place des routines

Un film de Health Nexus Santé

 

 

Quand t’es-tu senti(e) vraiment fièr(e) de toi la dernière fois ?

Et les vôtres, ils ont dit quoi ? Laissez-nous la réponse dans un commentaire…

Faut-il aider ses enfants ?

Sous prétexte d’aider ses enfants, ou parce que nous sommes pressés, nous avons tendance à faire à leur place : verser de l’eau dans leur verre, ouvrir le paquet de gâteau, ranger la serviette de la salle de bains, rincer la baignoire… Or ce réflexe leur enlève la possibilité de s’entraîner et donc d’apprendre à faire par eux-mêmes.

Sous prétexte de les éduquer, nous commentons (positivement ou négativement) leurs actions : « c’est bien », « non, pas comme ça »… Or intervenir oralement, même pour des compliments, c’est prendre le risque d’interrompre l’enfant dans son activité.

Comment les aider utilement ?
1.
Tout d’abord ayez confiance dans sa capacité à faire seul : vous serez surpris des résultats !
2. Montrez-lui l’exemple avec des gestes lents et soignés.
3. Puis laissez-le faire en lui apportant du soutien par votre regard et votre sourire, en limitant au maximum les interventions physiques et orales.
4. S’il est en difficulté et qu’il commence à s’énerver, proposez-lui de l’aide. Et apprenez-lui à demander de l’aide lorsque LUI en ressent le besoin. Ne soyez pas tenté alors de faire à sa place mais facilitez-lui plutôt l’action.
5. Une fois qu’il a terminé son activité, n’hésitez pas à le féliciter. Attention : évitez au maximum de juger ! Préférez décrire la situation : « Tu as mis tes chaussures tout seul ! » et exprimer vos sentiments : « Je suis tellement fière de toi ».

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Le véritable devoir du maître …

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Pas envie d’aller à l’école ?

C’est décidé, ce matin votre luciole a décrété qu’elle n’irait pas à l’école. Objections, incantations, punitions, séduction… rien ne parvient à modifier la situation. Voici 4 propositions pour votre mission motivation.

1. Écouter
Face aux réticences de l’enfant, notre 1re réaction est d’essayer de le convaincre, ou de les gronder. Testez une autre stratégie : prenez le temps de l’écouter attentivement, sans juger ni chercher à le persuader. Le simple fait de se sentir entendu dans ses émotions peut souvent débloquer la situation !

2. Aider à résoudre
Vous l’avez écouté et il ne veut toujours pas aller à l’école ? Reformulez les phrases de votre enfant pour vérifier si vous avez bien compris le pourquoi de sa réaction, et tentez ensemble de trouver une solution :
« Tu ne veux vraiment pas aller à l’école aujourd’hui …
– Non je voudrais rester avec toi pour jouer toute la journée
– Et si demain on se levait 30 minutes plus tôt pour avoir le temps de jouer ensemble avant d’aller à l’école ? »

3. Agir
Malgré votre écoute empathique, la situation reste bloquée (il a refusé de s’expliquer ou son problème n’a pas de solution) ? Dans ce cas, mettez-vous en mouvement, rappelez les règles calmement, et tentez de diriger son attention sur des éléments positifs et joyeux : « Il est temps de partir. L’école est obligatoire et nécessaire pour apprendre plein de choses. Sur le chemin, réfléchissons à ce que nous pourrions faire ensemble quand je viendrai te chercher ce soir. »

4. Donner l’exemple
Votre enfant vous entend pester chaque matin sur le chemin du travail ? Ses neurones miroirs s’activent et enregistrent votre attitude : son cerveau est prêt à vous faire une crise pour partir à l’école ! Faites plutôt passer des messages positifs et constructifs : « Chouette, aujourd’hui j’ai une réunion sur tel sujet, ça va être passionnant. » Trop dur à dire (ou trop mensongé) ? « C’est difficile d’aller au travail ce matin, je préférerai rester à la maison. Mais je dois y aller, l’équipe compte sur moi, et je suis sure que je vais apprendre plein de choses. »

Et pour aider encore plus votre enfant, découvrez aussi : 
Organiser son bureau c’est organiser sa pensée
Les bonnes manières à l’école 

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Masque pour aventuriers des tropiques

Pour Mardi Gras, transforme-toi en indigène des forêts tropicales ! Un modèle imaginée pour Bubble par la marque arty de linge pour enfants Anatology.

MATÉRIEL

1 feuille cartonnée
1 petit bout d’élastique
1 bombe de colle
1 paire de ciseaux

EXPLICATIONS

1. Clique ici pour télécharger ton masque, puis imprime-le en couleur (3 modèles au choix)

2. Colle-le sur une feuille cartonnée.

3. Découpe en suivant le contour du masque.

4. Fais un trou avec tes ciseaux – en demandant l’aide d’un adulte – dans les 2 points noirs sur les côtés

5. Passe l’élastique, vérifie que le masque tient bien sur ta tête, et fais un nœud. Et voilà !

 

Les pouvoirs de la Motricité Libre

Développé au début du xxe siècle par la pédiatre hongroise Emmi Pikler, le concept de la Motricité Libre est de plus en plus suivi par les crèches. C’est en effet le meilleur moyen pour permettre à l’enfant de devenir « naturellement compétent, agile et prudent ». Voici les 2 règles à respecter (enfin 3 avec celle de s’équiper d’un four verrouillable et à porte froide !)

1. Laisser l’enfant libre de se mouvoir
Plus vous laisserez votre enfant se mouvoir seul en toute liberté (ramper, rouler sur le dos, crapahuter à 4 pattes, monter et descendre 15 fois la même marche…) et en toute sécurité, plus vous lui permettez d’expérimenter ses limites – et donc de devenir naturellement prudent, et plus vous lui permettez de maîtriser ses déplacements – et donc de devenir naturellement agile.

2. Ne pas intervenir
Il est important de respecter le rythme de développement de chaque enfant et de ne pas « pousser » l’acquisition de la position assise (en le calant entre 2 coussins par exemple) ou de la marche (en le mettant debout ou en lui prenant les 2 mains). En « forçant » les choses, on brûle les étapes motrices nécessaires à l’enfant pour connaître et maîtriser son corps, développer sa musculature et ajuster son équilibre.

Bénéfices annexes
Cet accompagnement, à la fois distant et bienveillant incite également l’enfant :
. à faire appel à ses propres ressources face à la difficulté plutôt que d’attendre l’aide de l’adulte,
. à développer sa capacité à établir des liens de cause à effet,
. à faire le meilleur choix pour arriver à ses fins.

Certes, en appliquant les principes de la Motricité Libre, il arrive que certains enfants se retournent, s’assoient et marchent parfois plus tard que les autres, mais, comme le souligne une maman convaincue : « Au final, ils ont une meilleure confiance en eux, ils sont plus agiles, plus stables, ne tombent presque jamais et se font rarement mal ! ».

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« L’enfant mérite que l’on respecte ses peines même si leur cause n’est que la perte d’un caillou. »

Retrouvez d’autres citations sur la page Facebook de Bubble !

Savoir dire non à ses enfants

Ça fait 3 fois qu’ils vous demandent de regarder la télé et 3 fois que vous leur répondez non. Ils vous supplient, argumentent, se mettent à genoux… Bref, négocient sans fin. Et si vous vous en teniez à un seul non ?

La prochaine fois que vous dites non à une de leurs demandes préparez-vous mentalement à ne le dire qu’une seule fois et à vous y tenir. Ils renchérissent ? Ne réagissez pas, n’élevez pas la voix et restez calme. Comme si leurs paroles ne pouvaient plus vous atteindre.

Gardez confiance : avant de se résoudre, les choses vont sans doute s’aggraver. Vos enfants vont probablement tester votre volonté et vous harceler. Mais si vous ne cédez pas, et ne rentrez pas dans la surenchère verbale, il y a fort à parier qu’ils vont finir par se lasser.

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Difficile de vous faire obéir ? Observez
Faire attention à elle, même quand elle est sage !

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Comment te sens-tu quand quelqu’un se moque de toi ?

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Comment les aider à résoudre les conflits !

Si tu devais te faire un compliment ?

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Faites leur des compliments !

Si tu pouvais choisir un super pouvoir, ça serait lequel ?

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Sur un coussin perché…

Et hop ! on sort tous les coussins dans le jardin !!!

1. Disséminez plusieurs coussins (autant que le nombre de participants, moins 1 coussin) : sur l’herbe, sur une chaise, sous l’arbre…

2. Lancez une petite musique courte et virevoltez autour des coussins

3. Quand la musique s’arrête tout le monde doit vite aller se percher sur l’un d’eux

4. Pour varier les plaisirs : enlevez un 2e coussin et autorisez la cohabitation sur un même perchoir…

Après la finale : bataille de coussins autorisée !

Ça a donné quoi chez vous ? Racontez-nous en laissant un commentaire !

Cerveau social : Les neurones miroirs

Ce film vous expliquera, expériences à l’appui, le fonctionnement des neurones miroirs qui nous permettent de vivre en société.

Leur rôle pour le développement de l’enfant est multiple :

– Imitation

– Apprentissage

Empathie

Un film réalisé par Radio Canada pour tout comprendre.

Ombres magiques

Pour ne plus avoir peur des monstres, quoique…

1. Installez-vous dans le noir avec votre bambin et allumez une lampe de poche

2. Demandez-lui de se mettre face à un mur (pas trop près) et éclairez son dos : le voilà avec son ombre projeté sur le mur

3. Inventez avec lui des personnages imaginaires rigolos ou… monstrueux et demandez-lui de les imiter

4. Variez les angles d’éclairage : au-dessus de sa tête, sous son menton, les pieds en éventails…

À votre tour maintenant !

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Danser avec ses enfants

Danseuse et comédienne, Lucie Bailly fait le buzz avec ses ateliers de « Danse parents-enfants ». Un mélange de yoga, d’improvisation et de danse-contact, où les adultes, imitant leurs enfants (1 à 5 ans), réapprennent en riant à se mouvoir sans peur du jugement d’autrui. Un moment magique.

Les ateliers ont lieu chez Nat.Bé, lieu consacré à la parentalité et la paranatalité :
10, bd Auguste-Blanqui, 75013 Paris. Tél. : 09 50 42 62 82 ; www.natbe.fr.

Les mercredis (tous les 15 jours) à 17h15 (durée : 1h30) ;
20 €/atelier (1 adulte + 1 enfant).

Bubblemag vous offre un atelier d’essai gratuit (dans la limite des places disponibles) : contactez Lucie au 06 08 05 23 33 en précisant que vous venez de la part de Bubble !

Patate chaude !

Un jeu pour se dégourdir les méninges…

1. Se saisir d’une « patate » : un coussin, une paire de chaussettes, une balle anti-stress ou tout simplement une vraie pomme de terre !

2. Décider d’un thème : « les capitales », « les légumes », « les phrases que Maman répète le plus souvent »…

3. Tirer au sort le 1er joueur. Le jeu commence quand celui-ci cite un exemple du thème et lance la patate chaude au joueur suivant

4. Ce dernier doit, à son tour, trouver un exemple et lancer la patate « chaude » au 3 et ainsi de suite… Jusqu’à ce que la patate chaude « explose » dans les mains de celui qui n’a plus d’idées !

Ça a donné quoi chez vous ? Racontez-nous en laissant un commentaire !

 

Mémo N°2 – Changer de point de vue

« Tous les adultes ont été des enfants un jour, même si peu s’en souviennent » Antoine de Saint-Exupéry

Comprendre plutôt que réagir, ne pas prendre les choses personnellement, imaginer ce que nos enfants peuvent ressentir, se souvenir qu’ils n’ont pas fini de grandir… peut nous aider à désamorcer bien des conflits inutiles.

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Pourquoi de dis non déjà ?

Mémo N°3 – Défendre son territoire

Il arrive souvent que, petit à petit, parce que nous voulons leur bonheur avant tout, nous laissons nos enfants grignoter notre espace vital…

Dire STOP, avant de devenir chèvre, est aussi important pour nous que pour eux. Affichons nos droits haut et fort : celui d’avoir un sac à main qui ne soit pas collectif, de pouvoir fermer la porte des toilettes, d’écouter autre chose qu’Henri Dès, de faire la grasse matinée jusqu’à 9h…

Mémo N°4 – Donner des preuves d’amour

Câliner, jouer, consoler, réconforter, donner du temps, embrasser, apaiser, encourager, cajoler, pardonner, rassurer, dorloter, enlacer, épauler…

Chaque manifestation d’amour sécurise nos enfants et leur donne confiance pour découvrir le monde. Ne nous limitons donc pas, ils nous enverront balader avec nos baisers bien assez tôt…

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Des petits mots doux à disposition !

Mémo N°5 – Montrer l’exemple

Dire une chose et ne pas faire le contraire, essayer d’être cohérent, assumer son rôle de grand… Soyons vigilant : nos enfants nous imitent… qu’on le veuille ou non.

Et c’est génétique : explication scientifique, ici, avec les neurones miroirs.

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Quote : « Les enfants suivent les exemples … »

Mémo N°6 – Rester maître du jeu

Éduquer, refuser, poser des limites… est aussi essentiel pour le développement de votre enfant que l’amour donné.

Établir un cadre est primordial, s’y tenir est fondamental, le rappeler avec respect est capital.

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Rédiger ensemble les règles de famille
Choisissez le bon moment pour se faire entendre 

 

 

 

Mémo N°7 – Se connaître soi-même

À table, elle réclame un verre bleu plutôt que rouge : cela vous rend dingue. En fait vous êtes fatiguée de votre journée et vous n’avez aucune envie de vous lever de votre chaise. Il est nul en math : cela vous désespère. La vérité est que vous rêviez d’être scientifique. Etc.

Plutôt que de nous énerver, sondons nos motivations. Cela permet de mieux comprendre nos réactions et de rectifier le tir : notre enfant n’a peut-être rien à voir avec nos émotions !

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Comprendre l’enfant avec la théorie de l’esprit

Mémo N°8 – Surprendre ses troupes

Chanter, faire rire, inventer, ébahir, imiter, divertir…

Faire preuve d’imagination en cas de tension permet de désamorcer bien des situations en perdition !

Pour surprendre votre tribu, découvrez aussi :
Nos Jeux

 

Mémo N°9 – Avoir un coup d’avance

On ne le dira jamais assez, mais anticiper est souvent la clef pour mettre toutes les chances de notre côté et désamorcer crises et contrariétés.

Adapter l’environnement à l’âge de notre enfant, éviter les situations de surexcitation, penser à leur demander de prendre un livre pour patienter… Une bonne préparation supprime 90% des tensions !

 

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